cours chimie, bilan toxicologie
Comme les réserves de gaz naturel conventionnel (méthane…) décroissent inexorablement et
pourraient être épuisées dans une soixantaine d’années, l’extraction des huiles et gaz non
conventionnels emprisonnés dans du schiste ou hydrocarbures de roche-mère (roches sédimentaires) cours chimie, bilan toxicologie en pdf | Cours chimie | Cours sience
ou du charbon apparaît comme une alternative très séduisante pour plusieurs pays (Etats-Unis, cours chimie, bilan toxicologie en pdf | Cours chimie | Cours sience
Canada, maintenant l’Europe et dans l’avenir la Russie et la Chine). Ces technologies de plus en plus perfectionnées, permettent d’atteindre des formations géologiques
profondes (jusqu’à 4000 mètres de profondeur). A ces profondeurs, comme la perméabilité du cours chimie, bilan toxicologie en pdf | Cours chimie | Cours sience
schiste est très faible et ne peut permettre l’extraction du gaz inclus, il est obligatoire de fracturer la cours chimie, bilan toxicologie en pdf | Cours chimie | Cours sience
roche par des tech niques chimiques très puissantes (eau, fluides spéciaux sous pression).
La fracturation dite hydraulique se fait par injection d’eau (2000 à 20.000m³ par cycle de
fracturation) sous forte pression (plus de76MPa) avec du sable fin et des produits chimiques qui Transporter les composés chimiques, qui vont aider à désorber de la roche le gaz à extraire. cours chimie, bilan toxicologie en pdf | Cours chimie | Cours sience
Jusqu’à présent, la composition des fluides de fracturation est tenue secrète par les exploitants, au cours chimie, bilan toxicologie en pdf | Cours chimie | Cours sience
titre du secret industriel. cours chimie, bilan toxicologie en pdf | Cours chimie | Cours sience
b- Ouvrir et étendre un réseau de fractures.
c- Transporter des agents de soutènement (proppants) qui sont des particules solides en suspension cours chimie, bilan toxicologie en pdf | Cours chimie | Cours sience
dans un fluide et ceci, le long des fractures
empêchent les fractures de se refermer, comme l’indique le schéma 1 et 2, ci-après :A part l’eau, le fluide de fracturation peut-être de la boue ou un fluide synthétique à viscosité
contrôlée, enrichi en agents durs (sable tamisé, microbilles de céramique…).
Historiquement, le premier essai de fracturation hydraulique sur un puits vertical aurait été testé aux cours chimie, bilan toxicologie en pdf | Cours chimie | Cours sience
Etats-Unis en 1947 par la compagnie « HALLIBURTON ». Quant au premier forage horizontal il
aurait été réussi en juin 1980 par ELF AQUITAINE à Lacq.